Des restes d’une douleur usée,
Mon cœur était tordu, tendu.
Mon fil n’était déjà pas si épais à la base.
On n’échappe pas au doute, à la prudence,
Parfois je cache même des arbres dans la forêt.
Mais j’en ai assez de me trouver des excuses.
Alors que j’enlève mon masque imaginaire,
Ce samedi soir fait un autre pas en avant !
Un brillant éclat illumine le future, me guide :
un rêve et une lumière.
Je veux le toucher, tracer son chemin.
En embrassant les frustrantes nuits de douleur qui me laissent ébranlée,
Je les surmonterai
Jusqu’à ce que la prochaine porte s’ouvre…
Où est-ce que je peux tout recommencer à zéro ?
J’ai frappé d’une main puis j’ai attendu l’écho.
Si j’écoute attentivement, je l’entends un peu…
Si je pouvais faire de cette opportunité quelque chose de vrai,
J’irais en n’attendant personne.
Mais avec cette comédie, est-ce que je ne ferais pas du surplace ?
Qu’est-ce que je veux faire ? Je suis prise au piège.
Peu importe le temps que je prends, je n’arrive pas à résoudre cette que-que-question !
A la recherche des mots et des pièces oubliés
qui ont volé de ce puzzle,
Je veux remplir tous les vides.
Je trouverai dans mon passé une petite réponse, formée d’un temps qui ne reviendra pas.
Une fois que la prochaine porte se sera ouverte…
Alors que j’enlève mon masque imaginaire,
Je suis près de résoudre cette que-que-question, et ce samedi soir se mettra en mouvement.
Un brillant éclat illumine le future, me guide :
un rêve et une lumière.
Je veux le toucher, tracer son chemin.
En embrassant les frustrantes nuits de douleur qui me laissent ébranlée,
Je les surmonterai
Jusqu’à ce que la prochaine porte s’ouvre…
Une fois que la prochaine porte se sera ouverte…